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sante baye niasse

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Creation: 13/03/2008 23:52
Update: 14/03/2008 00:21
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bandu2 : menu_arrow.gif Poll: sante baye niasse - 14/03/2008 00:21

Cheikha Mariama Niass, fille de Baye Niass 'Je ne sais pas pourquoi ' Tyson' a été intronisé Cheikh'
L'a grande maison de Mermoz Pyrotechnique est un jardin d'enfants grandeur nature. A l'entrée, un homme au regard troublé sans doute par des nuits de prière, tient un petit étal. Dans la cour qui donne sur un couloir étroit, des mômes s'évadent à travers des jeux de leur âge. Un escalier mène aux appartement de la maitresse de maison: Cheikha Mariama Niass.
Dans un salon, un vestibule en moquette, un maure pantoufle tendrement. Sur les murs, trônent partout des effigies de Baye Niass. Un air conditionné et des apartés inaudibles s'échappent d'une chambre. Homme de confiance de la maîtresse de céans, Ben Omar Kane, mine patibulaire, déboule du dessous pour recevoir un groupe de Mauritaniens aux conciliabules.
La fille du vénérable Cheikh Ibrahima Niass dit Baye reçoit dans une chambre ou pêle è mêle s' entassent un grand lit, un miroir central, des sofas marocains, des photos de famille, un ordinateur-portable et... sa petite cour de femmes de compagnie. Un jeune garçon d'une dizaine d'années reste insensible à la scène et pianote sur l'ordinateur. Dans ce décor chalereux, il était plus facile pour la dame, amoureuse de l'Islam, enseignante du coran et propriétaire d'écoles coraniques à Dakar, de nous ouvrir son coeur et ses oeuvres.


I am

 

bandu2 : menu_arrow.gif Article: sante baye niasse - 14/03/2008 00:02

sante baye niasse
Même si ce verset est subjectif, c'est dans le sens matériel et non moral. Nous récitâmes donc le Salâm, debout avec décence humilité et abaissement, abaissant le regard avec de temps à autre le plaisir de regarder le tombeau. Nous récitâmes : « Que l'immense paix d'Allah soit sur toi ô prophète ainsi que sa miséricorde infinie. » Cent fois. Nous saluâmes ses deux Califes ainsi que ses compagnons et les membres de sa maison avec recueillement et nous répétâmes ce que Dieu annonça lui-même dans le Coran sacré : « Même si après avoir péché ils viennent te trouver et qu'ils se repentent, le prophète pour eux demandera la grâce d'Allah et ils trouverons là entière miséricorde et clémence de leur seigneur. »
 
Nous priâmes ensuite sur le prophète Mouhammad soixante dix fois et puis pour nous, nos parents, nos compagnons, nos gens, ainsi que pour tous les musulmans hommes et femmes. Là, des prières me furent insinuées en vers et en prose dont je ne me souvient que de celles en vers. Je dis : «Oh seigneur, du prophète, de ses hommes et de son véridique compagnon Abî Bakr aux qualités sublimes, nous te supplions, au nom du père de Hafs, l'un des plus méritants, Omar Ibn Al Khattâb à la foi et à la sainteté réputés au nom de tout ce que cette salle contient de saint et de bénéfique ; au nom de ce mausolée, fleur éclose du printemps de tes vertus sublimes ; aux sacro-saints noms de ce minbar, de cette mosquée et de sa chaire sacrée ; aux nom de cette coupole verte sublime et des portes du lieu, aux noms des colonnes, des piliers et de toute l'architecture environnante ; aux noms de toutes les multitudes qui y viennent acte d'allégeance faire, et aussi de soumission totale, au nom de toutes les invocations qui y seront prononcées, qu'elles fussent de la loi divine ou de la tradition ; au nom de tous ceux qui se sont tenus qui se tiennent et qui se tiendrons debout depuis le premier des hommes jusqu'au dernier d'entre eux, et qui se prosternent, au noms des minarets et des murs de cette sainte mosquée ; au nom des rayonnantes beautés d'Ahmad et du cimetière Bâqia et d'Ousmane aux très hautes qualités, ainsi que du père de Hassan lion du prophète Mouhammad ; au nom de la bataille d'Uhôd et de tous ceux qui y restèrent ; au nom des gens de la maison du prophète Mouhammad, qui se penchent et se prosternent et des mosquées de Médine et des puits de cette ville ; au nom des lieux très saints de cette sacrée cité et de la totalité des lieux importants ; nous te supplions d'adresser tes prières au prophète Mouhammad ainsi qu'à sa famille ; à ses proches et à ses compagnons. Accorde, seigneur, à ton serviteur, de ce saint lieu tout ce qu'il te demandera et accorde lui, même plus qu'il ne te demandera et pardonne lui ses péchés ainsi qu'à ses deux parents (père et mère) à sa progéniture et tout ce qui de sa descendance provient. Rétribue en ta clémence tous mes parents et aussi ma mère de la meilleure rétribution qui fût de même qu'à mes compagnons et très chers disciples. Accepte mes œuvres et à tous les musulmans, pardonne leurs péchés, que les musulmans fussent noirs ou blancs et détruit aussi ô seigneur tous les ennemis de l'islâm dans tous les pays du monde, ô toi le subtil ! Elève haut la grande voie de l'islam, unifie le cœur de tous les musulmans. Dans ce pays, facilite les affaires de ton serviteur ; conduis le dans le plus droit chemin ; accorde à ton serviteur une mosquée ; une forte assemblée, et pourvois cette mosquée d'hommes vertueux, ô toi le subtil ! Dans l'observation d'une dévotion fidèle affermis les, sans aucune innovation et volontaire invention. Je te prie de nous donner une école très vivante, vivifiée par la famille de Mouhammad, la meilleure de toutes ! Oh seigneur, apporte aide et secours à tes serviteurs et dissimule leurs défauts. Des mains de ton serviteur justifie et dirige les croyants et fais leur miséricorde. Pardonne à tout croyant qui envers ton serviteur aura été favorable, et accorde lui une haute récompense et octroie d'immenses bienfaits aux épouses de ton serviteur, à ses gens, et à tous ceux qui pour lui travaillent ainsi qu'à tous ses serviteurs. Donne lui le savoir et la connaissance. Accorde lui une foi sincère et la perfection. De tout mal et de tout fléau préserve nous et accorde nous seigneur touts félicités et tout dons. Fais nous parvenir jusqu'à ta chambre sainte la Ka'ba, agrée nos œuvres et accorde nous de nous en retourner saints et saufs jusque chez nous avec une charge suffisante de biens spirituels et matériels. Que l'immense paix et miséricorde d'Allah soient sur le prophète, sur sa famille, sur ses gens et sur l'ensemble de ses compagnons connus qui ont propagé l'islâm à travers le monde entier. » Nous allions après chaque prière rituelle visiter le tombeau du prophète Mouhammad situé dans cette salle. Je glorifie le seigneur de nous avoir fait voir tous les beaux aspects de ce lieu très sacré.
 
Après chaque visite nous nous asseyions alors en compagnie d'éminents érudits, à discuter face au saint mausolée. Nous allions chaque soir faire notre prière de Maghreb dans le mausolée du prophète Mouhammad, à deux pas de l'imâm afin d'entendre, au cours de la prière sa prononciation du saint Coran. Le matin nous entrâmes par la porte de l'ange Gabriel (Bâbou Djibrîl) et nous tenions et priions comme il plaisait à Dieu. Nous nous asseyions alors là jusqu'à la prière du matin, faisions nos prières sur le prophète Mouhammad selon le rituel de la voie de Cheikh Ahmad Tîdjâni (lâzim) et ensuite notre ziarra par la même occasion. Nous complétions notre Wird au conseil des (Ahlou Sifât), une assemblée de sages constamment présents en ce lieu.
 
S'il nous était alors permis de faire des prières surérogatoires nous les faisions et sinon nous allions à la maison prendre le petit déjeuner pour revenir, toujours, au conseil des sages Ahlou Sifât.
 
Par la grâce de Dieu nous restâmes à Médine vingt et un jour à compter de la date de notre arrivée jusqu'à notre départ. Durant tout ce séjour dans la ville sainte, jamais nous ne sortîmes de l'enceinte du prophète Mouhammad, sauf pour nous restaurer ou par nécessité, comme par exemple dans le cas d'un Ziarra tel que celui de la montagne d'Uhôd, des hommes tombés dans cette bataille et de Seydina Hamza ; ou bien lorsqu'il se fut agi d'aller visiter le cimetière Bâqia afin de prier pour tous ceux qui y reposent, et où d'ailleurs nous fûmes plusieurs fois visiter le tombeau du troisième Calife Ousmane ; D'abû Châ' idîne Al Qoudrî ; de Fatimatou Bint Azad ; de Halimatou Cha' diya ; celui d'Ibrahîm fils du prophète Mouhammad. Nous passâmes prés de l'imâm Mâlik Ibn Anas et aussi prés de son maître. Nous visitâmes aussi le tombeau des épouses du prophète Mouhammad (SAW) Aïcha et ses co-épouses et aussi les filles du prophète, Zeynab et Oummou Kalsôm, Nous passâmes prés de son père Abbâs ainsi que près de Hassan et de la sainte mère de celui-ci, Fatimatou, fille du prophète.
 
D'autre part on rapporte que le corps d'Aliyu fut transféré par Hussein jusqu'à Bâqia, ce avec quoi je suis parfaitement d'accord, de même que l'on dit être à Bâqia la tête d'Al Hussein ; les sœurs de son père ; Abdallah ; plus tous les blessés de la bataille d'Uhôd qui, à Médine moururent.
 
De tous ces gens j'ai visité les tombeaux et constaté qu'ils avaient tous les pieds tournés vers la Ka'ba. Nous fûmes un jour de Samedi pendant deux fois consécutives à visiter la mosquée de Qubâ afin de bénéficier d'un Hadith, enseignement dans lequel il dit : « Celui qui, dans sa maison se purifie et puis fait deux Rakâs dans la mosquée de qubâ aura ici même accompli l'Umra à la Mecque. »
 
C'est à partir de Qubâ que nous découvrîmes la nuée qui, au prophète avait dévoilé la Ka' bâ lorsque d'Allah il reçut l'ordre de se tourner vers elle. Nous vîmes de même le lieu ou la chamelle du saint envoyé d'Allah s'était accroupie et aussi le lieu où sont descendus des versets du Coran, ainsi que toutes choses qui étaient là et qui nous étaient bien connus.
 
Nous allâmes même visiter le puits de l'anneau, (Bi' rou Khâtim) ou, des mains d'Ousmane disparut en tombant l'anneau du prophète Mouhammad et où s'assirent jadis le prophète Mouhammad Abî Bakr, Omar et Ousmane. Nous bûmes de son eau limpide et fraîche. Tous les habitants de Médine ne boivent d'ailleurs que cette eau et celle des sept puits du prophète Mouhammad (SAW) : « Arissou ; Kharsou ; Rawmata ; Boudâ'ata ; Baddata ; Bi' rou Djâ' a et Hîny. » Nous visitâmes aussi Masdjidoul Hamâma ainsi que les sept mosquées de Khandakh : Celle d'Aliyoun ; celle d'Omar ; celle d'Abî Bâkr ; celle de Zalmân ; et celle du prophète nommée Masdjidoul Fathi.
 
Nous visitâmes ensuite la mosquée aux deux Mihrâbs dont l'un tourné vers Jérusalem et l'autre vers la mecque. S'agissant de la mosquée du prophète Mouhammad, nulle plume n'en saurait décrire la beauté et la forme. Elle est, (que Dieu la bénisse), spacieuse et d'un ornement architectural hors pair et couverte d'arabesques sur toutes ses faces ; de versets, de sourates et de hadiths. Sur la moitié du Minbar est calligraphiée la sourate de la famille d'Imrân et sur l'autre moitié la sourate du désaveu ou repentir (Attawbati) ; sur un côté tous ses noms et, sur un autre, la sourate de l'ouverture, le tout calligraphié à l'or pur. Quant à la coupole j'y ai moi-même lu la sourate (Al Djoumou'ati) du vendredi, et d'Al Khâssiatou ; d'Al Mounâfiqûn ; d'Al Ikhlâss ; et celle d'Al Nasrou. Toutes les coupôles étaient couvertes de sourates du Coran. Quant au recueil d'éloges au prophète Mouhammad (SAW), Bourda, il est écrit sur le mur jouxtant les places réservées aux femmes.
 
Sur le haut du Mihrâb du prophète il est écrit : « Ceci est le Mihrâb du prophète d'Allah. Que sur lui soit l'immense paix d'Allah. » Et à gauche ceci : « La prière est le pilier de l'Islâm. » Et sur la porte de droite : « La foi est dans Médine comme un serpent dans son repaire. »
 
Sur la face droite de la porte il est écrit : « L'espace qui se situe entre ma chambre et ce Mihrâb est un céleste jardin du paradis toutes ces paroles sont ensuite répétées sur toute la face du mausolée du prophète Mouhammad. Tel, cependant, est l'ordre des rangées  de la mosquée du prophète Mouhammad : En premier lieu celle des (Hirsî ; des Woufôdî et puis celle des Abî Loubâbatou et des Aïcha.)
 
En ces lieux je reconnus des hommes très saints. Le premier d'entre eux était un véritable compagnon à moi-même ; Aliyou Ibn Abdallah Taïb que j'investis là guide dans la Tarîqa tout en lui donnant accès aux mystères de celle-ci. C'est un homme unique en son temps en matière de connaissance, un descendant de l'imâm Châfeï.
 
J'élisais pareillement Ahmad Ben Bella. C'est le jour ou vint me trouver le roi de Kano, portant le nom d'Abdallah Ibn Abbâs Bâyoro accompagné d'un de ses ministres, le réputé Souleymâne Ibn Ismâ'îl. Les deux hommes me prièrent alors de rénover leur engagement et adhésion dans la voie Tîdjâne et de les investir piliers dans celle –ci.
 
Je les aidai donc sur un signe de mon vertueux disciple le Cheikh Aliyou Taïb. Je rencontrai là tous les plus grands hommes soutiens de la Tarîqa Tîdjânia pour lesquels je renouai les attaches à celle-ci. J'y investis en même temps Abal Khâssim Ibn Ibrahîma du clan des Zouneïni du Soudan Egyptien. Je rapporte ici quelques chants qui me furent inspirés alors que je me trouvais dans l'enceinte de la mosquée du prophète Mouhammad : « Que la paix immense d'Allah soit donc sur la moitié qui réunit en elle tout l'univers. Par la grâce d'Allah qui m'a offert beaucoup d'honneur. J'ai ici acquis tout ce que je recherchai en ce monde. Par la grande paix d'Allah qui de l'honneur est l'unique détenteur, que la miséricorde d'Allah soit sur Yâcine ; Tâhâ Mouhammad, ainsi que sur ses compagnons bénis et remplis de la clémence d'Allah. » Je continuai ainsi : « Tu me verras les yeux constamment fixés sur la coupole verte surmontant le tombeau de l'envoyé d'Allah. Oh très cher, miraculeux et valeureux minaret dont l'immense ombre enveloppe le soleil de tous les connaissants Mouhammadâ ! Par Allah ! Qu'elle est élevée la ville de Médine car elle est la plus haute cité du plus grand et du plus valeureux des prophètes ! Car en toi, Abû Hafsine notre guide et lampe lumineuse de notre religion se trouve, ainsi qu'Omar l'homme à la lumière double ; aux innombrables dons et bienfaits. En ton sein se trouvent les domiciles des gens du prophète ceux de ses compagnons vénérables et soixante dix mille hommes qui ne subiront au jour du jugement, même pas d'interrogatoire. Ton mausolée d'une sublime beauté, sans doute est le plus grand paradis, ainsi que ton valeureux Minbar qui s'y trouve. Que valeureuse tu es ô Médine en laquelle se succèdent les gens porteurs de la clémence et de la miséricorde divine. Elevée tu es à telle enseigne que de toi, à partir d' Ahmad la meilleure des créatures, partent toutes sortes de connaissances, étant le marchepied du prophète Mouhammad et l'unique lieu de son repos lorsqu'il vint en ce monde justifier les hommes, tu es, grâce à Dieu élevée. Mon espoir est d'être élu par l'élu et mon devoir lui est de m'élever jusqu'à la (Muffradâ) valeureuse et unique station. Que la paix d'Allah soit sur le prophète Mouhammad, sur sa famille et tous ses compagnons pour l'éternité. » Je dis : «Je me dépouille aujourd'hui des habits que je porte avec la nette intention immaculée d'aller à la Mecque sainte, en même temps que mon cœur se dépouille de toutes autres choses que de te rendrez les éloges dus à ton rang. Et s'il arrive que je tourne autour de la grande maison de mon seigneur, mon cœur à ce moment là tournera autour de ta véritable face. S'il arrive que j'aille et vienne entre les deux collines, (Safâ et Marwa), je saurai certes que cette marche n'est autre que l'image de la marche que je fis moi-même dans le passé à traverser le plan insondable de l'être en tout honneur.
 
Le Vingt et Unième jour après notre arrivée nous voilà partis de Médine dans une matinée de Dimanche troisième jour de la Tabaski du mois de Djul Hidjjati. Nous nous sommes lavés dans les saints lieux pour ablutions de l'enceinte de la mosquée du prophète Mouhammad (SAW) et avons alors porté nos habits blancs ainsi que nos chaussures. Nous entrons alors dans le mausolée du prophète Mouhammad où nous prions deux Rakkâs, faisons notre Ziarra et prenons congé du plus saint d'entre tous les prophètes.
 
Arrivés à Zoul Huleïfati nous fîmes deux Rakkâs d'Ihrâm et demandâmes pardon à Dieu par trois fois. Nous formulâmes l'intention d'aller parachever le pèlerinage à la Mecque et commençâmes dés lors la prononciation du Takbîr Al Ihrâm. Nous marchons tout le jour et passons la nuit à Râbikh d'où le lendemain nous repartons pour arriver à Djeddah avant l'heure de midi pour nous diriger vers la Mecque. Loué soit Allah avant et après toute chose !
 
Les escales se trouvant entre Médine et la Mecque sont au nombre de Quatorze : Bi- 'rou Aliyou ; Zul Huleïfati ; Al Fureïch ; Al Masdjidou ; Aschafiatou ; Abyâri Bani Hassan ; Mastôratou ; Râbikh ; Tôlou ; Zahbân ; Djeddah ; Oummou Salama ; Bahratou ; Chamîssi ; Makkatal Moukarrama.
Je vois que l'homme le plus grand guide d'Allah possède des dons et une valeur tels qu'ils dépassent mon esprit et qu'ils surplombent mon imagination. Je l'ai vu identique, dans sa forme au plan de la royauté dans sa manifestation visible et invisible. Je jure que Tâhâ le seigneur de cette cité est la grande vérité et la source même de la réalité apparente et secrète.